Aucun séminariste en Acadie, 2015
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Aucun séminariste en Acadie, 2015
un extrait:
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"le diocèse de Moncton compte quelque 25 prêtres célébrant. Selon l’évêque, il faudra en remplacer une bonne demi-douzaine dans un avenir rapproché, soit à l’intérieur d’une période d’environ cinq ans.
Mais le problème c’est qu’on ne forme plus suffisamment de relève au pays pour combler ce besoin grandissant.
«Avant, nous avions beaucoup de paroisses avec deux prêtres. Aujourd’hui, nous avons souvent un seul prêtre qui s’occupe de quatre et même cinq paroisses. Et je crois, sans trop me tromper, que nous n’avons aucune relève en formation au Nouveau-Brunswick. Il n’y a présentement personne au séminaire en vue de devenir prêtre», dit Mgr Vienneau.
«On ne peut pas se tourner vers le Québec pour recruter des prêtres, car leurs diocèses sont la même situation que nous. On ne produit tout simplement plus assez de prêtres au pays pour la demande. On n’a pas le choix, il faut désormais aller plus loin pour recruter», souligne-t-il.
Ce plus loin, c’est à l’étranger, notamment en Afrique francophone,
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Il y a 365,000 cathos au NB, et 235,000 francophones. Certes, c'est peu. comme une ville moyenne.
Une hypothèse à vérifier: puisque Duplessis n'a pas existé au NB, ni les phénomènes sociologiques exacts du Québec, on ne peut dire que la mort des vocations proviennent de facteurs québécois. On devrait donc pencher vers l'hypothèse que la mort des vocations vient de facteurs interne à l'église postconciliaire locale.
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"le diocèse de Moncton compte quelque 25 prêtres célébrant. Selon l’évêque, il faudra en remplacer une bonne demi-douzaine dans un avenir rapproché, soit à l’intérieur d’une période d’environ cinq ans.
Mais le problème c’est qu’on ne forme plus suffisamment de relève au pays pour combler ce besoin grandissant.
«Avant, nous avions beaucoup de paroisses avec deux prêtres. Aujourd’hui, nous avons souvent un seul prêtre qui s’occupe de quatre et même cinq paroisses. Et je crois, sans trop me tromper, que nous n’avons aucune relève en formation au Nouveau-Brunswick. Il n’y a présentement personne au séminaire en vue de devenir prêtre», dit Mgr Vienneau.
«On ne peut pas se tourner vers le Québec pour recruter des prêtres, car leurs diocèses sont la même situation que nous. On ne produit tout simplement plus assez de prêtres au pays pour la demande. On n’a pas le choix, il faut désormais aller plus loin pour recruter», souligne-t-il.
Ce plus loin, c’est à l’étranger, notamment en Afrique francophone,
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Il y a 365,000 cathos au NB, et 235,000 francophones. Certes, c'est peu. comme une ville moyenne.
Une hypothèse à vérifier: puisque Duplessis n'a pas existé au NB, ni les phénomènes sociologiques exacts du Québec, on ne peut dire que la mort des vocations proviennent de facteurs québécois. On devrait donc pencher vers l'hypothèse que la mort des vocations vient de facteurs interne à l'église postconciliaire locale.
Chriscato94- Messages : 419
Date d'inscription : 19/01/2023
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